Pauline Portier,Camille Rat Patron et Manon Renaux

Cher journal,

    Je t'écris aujourd'hui ce premier octobre 1759 car je suis triste d'avoir perdu mes compagnons de mer.
J'ai été le seul survivant de cette catastrophe !!!
Ma famille ne se doute de rien, il faut absolument que je rentre à York !
Je suis sur une plage inconnue et pleine de cadavres. Je me sens un peu seul et je me demande si je ne suis pas mort moi aussi ...

Je ressens soudain une grande déception m'envahir en repensant aux richesses espérées grâce aux marchandises que j'aurais pu vendre ,mais, peut importe, l'urgence c'est de me nourrir et de survivre!

Pour me nourrir,il faut chasser! Je suis parti explorer le centre de l'île et tout à coup, j'ai vu un bouc se dresser devant moi, sans qu'il me veuille du mal, j'ai pris un bâton et je l'ai assommé!

Mais en y repensant, je regrette presque ce geste car ce pauvre bouc, sans la connaissance de l'homme ne demandait aucun mal. 

En continuant mon tour, j'ai remarqué qu'il n'y avait pas d'issue possible : Je suis sur une île déserte !!!

Maintenant, je suis fatigué,alors, je te réécrirai demain.