lundi 4 janvier 2016

johanne spery et manon dulac

Mon cher journal,

Je t’écris aujourd'hui le dimanche  23 décembre 1787 bouleversé d'avoir rencontré ce mystérieux capitaine et son équipage. 
Hier soir, ils m'ont invité à diner ,mais leur repas m'a  causé une indigestion a cause des plats que je n'avais plus l'habitude de manger.
Ce matin , j'ai fais quelques pas sur la plage pour réfléchir. Je me sentais vide  et vieux d'être resté aussi longtemps sur l'île Speranza.
 
 En rentrant au camp, j'ai voulu aller réveiller Vendredi mais ne le voyant pas dans son hamac je me suis terriblement inquiété. j'ai fait le tour de l'ile, je suis alleé dans les endroits ou il aimait aller. Après quelque temps , je me suis rendu compte qu' Anda avait elle aussi disparu. De plus en plus inquiet, j'ai eu très peur qu'ils soient partis avait le capitaine mais ouf !
 Il y avait toujours les deux radeaux.  je  savais que Vendredi devait prendre une embarcation pour rejoindre le navire Whitbird. je repris mes recherches sur l'ile, j'aillais dans toutes les plages, des falaises aux dunes, de la forêt aux marécages, du chaos rocheux aux prairies, j'avais énormément peur, je ne trouvais pas Vendredi. Je commençais a croire qu'il était partis avec eux car il m'avait parlé de l'admiration qu'il portait pour ce grand bateau blanc et majestueux. Je me suis souvenu aussi que ce dernier s'amusait énormément d'une vergue a une autre. L'idée était de plus en plus clair.Mon ami m'avait quitté pour ce bateau mais ce qui me blessais le plus c'était qu' il ne savait pas se qu'il allait vivre la bas. Le second, Joseph, m'avait raconté des détails sur la traite des noirs. Mais je pense que mon compagnon ne se doutait surement pas qu'il allait être traité comme un esclave. Je n’osais même pas penser a ce qu'il allait subir au retour du pays. J'ai continué a le chercher avec un espoir de plus en plus faible. Tout ce que je retrouvais c’était des souvenirs de lui qui m'achevaient complétement.
 En marchant j'ai retrouvé le collier de Tenn presque détruit a cause du temps. Je me suis mis a pleurer comme une madeleine. Je ne voulais plus vivre. Il m'avait trahit. J'étais plein de désespoir. En reprenant mes esprit j'ai décidé de retourner dans la grotte et d'y mourir. Il y faisait bon et doux et en m’enfonçant de plus en plus. J'ai remarqué qu'il y avait des pierres qui bougeaient. Je me suis demandé ce que c’était , et tout à coup, une voix retentit, une voix d'un enfant que j’avais déjà vu.C’était l'enfant du bateau qui s’était échappé. Nous avons faiT connaissance et nous avons décidé de vivre sur l'île tous les deux. Comme son nom était trop compliqué, j'ai décidé de l'appeler Dimanche.
 J'ai été tellement heureux de savoir que je n'allais plus être seul.
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JOHANNE DULAC ET JOHANNE SPERY

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