vendredi 8 janvier 2016

Eliot,Nicolas,Brian  5°C

Cher journal,
je suis sorti de la grotte et je me suis rendu au village mais je n'y ai pas vu Vendredi .
Je me suis rendu à la maison et j'ai aperçu Tenn endormi sur le tapis  Je l'ai réveillé et il m'a conduit au champ de cactus et des cactées. Je me suis senti très en colère de voir les bijoux et les vêtements sur les plantations. J'ai tout de suite pensé que c'était Vendredi qui avait décoré les cactus.
Ensuite, j'ai passé mon après-midi à me piquer les doigts en essayant de récupérer ce qui avait de la valeur . A la fin de la journée, je ne ressentais plus mes doigts.  J'étais toujours à la recherche de Vendredi . J'ai pris Tenn avec moi et je suis parti dans les grandes forêts . Je me suis sentis tout de même un peu coupable d'être allé dans la grotte. Rien de cela ne serait arrivé. Alors que j'étais dans mes pensées, Tenn avait trouver un indice, un endroit ou vendredi habitait. Surement il y avait un matelas de feuilles séchées  confortables , une poupée en paille , et un fauteuil en brindilles. Tenn renifla un arbre. Tout à coup, j'ai sursauté et pris peur de cet arbre qui bougea d'un grand coup sec . Quelques  secondes après, l'arbre ne bougea plus. Je vis que c’était vendredi avec des peintures rupestres de haut en bas. Je me sentais heureux et malheureux de me mettre mis en colère contre lui pour ses idioties .
Il courut près de la mer  et se baigna pour effacer ses dessins dans les vagues .





mercredi 6 janvier 2016

POLCE Manon,

 BOMPAS Mathilde.


 

 

 

Le lendemain de l'explosion,

Cher journal,

Je t'écris aujourd'hui, le lendemain de cette horrible catastrophe qui a détruit tout ce que j'avais construit depuis mon arrivé sur cette île déserte.


 Ce matin, (le jour même de l'explosion) j'ai voulu me réveiller tôt pour descendre sur le rivage inspecter des lignes de fond que la marée descendante venait de découvrir.
En descendant sur la plage, j'ai soudainement repensé aux bêtises de Vendredi qui s'étaient passées la veille. J'ai attendu la fin de la journée pour avoir une explication.

A la fin de la journée, je suis rentré à la maison voir Vendredi qui était censé ranger la vaisselle du midi.
Arrivé -bas, je ne l'ai pas trouvé. Pris de panique, j'ai couru sur la plage en criant son nom, accompagné de Tenn qui courrait en direction de la grotte.
Je l'ai suivi en espérant voir Vendredi.
J'ai pris mon fouet qui était dans ma poche et soudain, je l'ai vu tout surpris de me voir arriver.
Pris d'une colère énorme, j'ai soulevé mon fouet en sa direction mais avant qu'il le touche, une explosion énorme a retenti et m'a soulevé dans les airs.

J'ai été réveillé par Vendredi qui m’aspergeait d'eau et j'ai vu ma maison et tout ce que j'avais construit à côté en flamme. J'étais anéantis.
 Je me suis levé et j'ai vu Tenn, mort près d'un arbre.
Parce que j'étais pris d'une grande tristesse, Vendredi m'a emmené faire un tour de barque pour me changer les idées.
On a pris la décision de tout recommencer à zéro et vivre à sa façon.

Après le tour de barque, on est rentré sur Spéranza et notre nouvelle vie a commencé.

 FIN


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explosion de la grotte.


lundi 4 janvier 2016

cher journal



 Souvent je me rends dans le trou de la grotte pour retrouver le calme de mon enfance . Je décide de prendre les sac de riz que je conserve depuis le premier jour pour  faire une rizière . Pour cela j'ai construit une voix de dérivation. Cela a fait l’asséchement d'une prairie, et j'ai été obliger de modifier le cour d'une rivière en deux partis. je me demande pourquoi je fait tous ces effort . Si seulement j'aurais une femme ou même des enfant je saurais pourquoi je travaillerais autant . j'avais de la penne . Je commence a avoir les larmes au yeux , j 'était triste . Je suis redescendu  au fond de la grotte mais cette fois si j ai failli y laisser ma peau je m’effondre de larme je me reprend en main il faut avoir du courage pour vivre dans cette situation . 
Je me souvient que mon père me faisait lire les almanachs de Benjamin Franklin.Sur les dune j avais écrit avec des petit rondin:
"La pauvreté prive les homme de tout les vertu"

dans la paroi de la grotte j avais mit des pierres qui  formaient des phrases:
"Si le second vice est mentir,le premier est de s endetter,car le mensonge monte a cheval sur la dette."

Sur le lit de pierre , prêt a être enflammer j ai mis:
"Si les coquins savaient tous les avantages de la vertu, ils deviendraient vertueux par coquinerie."

  J'ai écrit une phrase plus longue que les autre qui étais sur le dos des chèvre qui faisaient cent- quarante- deux lettre si par hasard les chèvre mettais les lettre dans l ordre:
"Celui qui tue une truie anéantit toutes les truies qu'elle aurait pu faire naître jusqu'à la millième génération. Celui  qui dépense une seul pièce de cinq shillings assassine des monceaux de pièces d'or."


Benjamin Franklin 1783
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johanne spery et manon dulac

Mon cher journal,

Je t’écris aujourd'hui le dimanche  23 décembre 1787 bouleversé d'avoir rencontré ce mystérieux capitaine et son équipage. 
Hier soir, ils m'ont invité à diner ,mais leur repas m'a  causé une indigestion a cause des plats que je n'avais plus l'habitude de manger.
Ce matin , j'ai fais quelques pas sur la plage pour réfléchir. Je me sentais vide  et vieux d'être resté aussi longtemps sur l'île Speranza.
 
 En rentrant au camp, j'ai voulu aller réveiller Vendredi mais ne le voyant pas dans son hamac je me suis terriblement inquiété. j'ai fait le tour de l'ile, je suis alleé dans les endroits ou il aimait aller. Après quelque temps , je me suis rendu compte qu' Anda avait elle aussi disparu. De plus en plus inquiet, j'ai eu très peur qu'ils soient partis avait le capitaine mais ouf !
 Il y avait toujours les deux radeaux.  je  savais que Vendredi devait prendre une embarcation pour rejoindre le navire Whitbird. je repris mes recherches sur l'ile, j'aillais dans toutes les plages, des falaises aux dunes, de la forêt aux marécages, du chaos rocheux aux prairies, j'avais énormément peur, je ne trouvais pas Vendredi. Je commençais a croire qu'il était partis avec eux car il m'avait parlé de l'admiration qu'il portait pour ce grand bateau blanc et majestueux. Je me suis souvenu aussi que ce dernier s'amusait énormément d'une vergue a une autre. L'idée était de plus en plus clair.Mon ami m'avait quitté pour ce bateau mais ce qui me blessais le plus c'était qu' il ne savait pas se qu'il allait vivre la bas. Le second, Joseph, m'avait raconté des détails sur la traite des noirs. Mais je pense que mon compagnon ne se doutait surement pas qu'il allait être traité comme un esclave. Je n’osais même pas penser a ce qu'il allait subir au retour du pays. J'ai continué a le chercher avec un espoir de plus en plus faible. Tout ce que je retrouvais c’était des souvenirs de lui qui m'achevaient complétement.
 En marchant j'ai retrouvé le collier de Tenn presque détruit a cause du temps. Je me suis mis a pleurer comme une madeleine. Je ne voulais plus vivre. Il m'avait trahit. J'étais plein de désespoir. En reprenant mes esprit j'ai décidé de retourner dans la grotte et d'y mourir. Il y faisait bon et doux et en m’enfonçant de plus en plus. J'ai remarqué qu'il y avait des pierres qui bougeaient. Je me suis demandé ce que c’était , et tout à coup, une voix retentit, une voix d'un enfant que j’avais déjà vu.C’était l'enfant du bateau qui s’était échappé. Nous avons faiT connaissance et nous avons décidé de vivre sur l'île tous les deux. Comme son nom était trop compliqué, j'ai décidé de l'appeler Dimanche.
 J'ai été tellement heureux de savoir que je n'allais plus être seul.
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JOHANNE DULAC ET JOHANNE SPERY