Le Bateau
Par
les flots ébranlés, une embarcation légère
M'avait
porté sur ce vaste bateau
Qui
fatiguait le Golfe et sa colère
D'un
énorme fardeau
Ses
longs mâts montaient en pyramides
Comme
un serpent ailé volant dans les airs
Déroulait
ses anneaux rapides,
Et
j'admirais ce noir géant des mers
Ainsi
prêt à quitter ce navire
Pour
marcher vers la forêt d'Amazonie
Le capitaine ne put que s'en ravir
Dans
cette forêt plaine de mystères
Une
panoplie de fleurs mon ami découvrit
Des
singes joueurs nous suivaient derrière
Je
voudrait voyager toute ma vie.
Mathys
Durand
Super poème et belle image
RépondreSupprimermagnifique poème je me dois de le récompensé avec le lauréa du poème de l'année!!! x)
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